Le baptême dans La Révélation d’Arès n’est pas un sacrement mais un engagement dans l’accomplissement du Bien
C’est dans la veillée 20 de l’Evangile donné à Arès que Dieu redonne au mot baptême son véritable esprit. C’est une de ces grandes rectifications que La Révélation d’Arès apporte aux doctrines sacramentelles des christianismes d’églises.
Le baptême n’est pas un sacrement, il n’apporte pas de grâce salvatrice ni n’efface le péché. Le baptême est une forme solennelle et non obligatoire d’engagement personnel de changer sa vie (= mener une vie de bien, 30/11) et de contribuer à changer le monde en bien (28/7), les deux seules actions qui soient réellement salvatrices.
Le baptême prescrit dans La Révélation d’Arès est un auto-baptême de la conscience. On se baptise soi-même avec ou sans témoin, mais ce n’en est pas moins un serment fait au Créateur, un engagement qui lie la conscience. En déclarant : « Non, pas l’eau de Jean(-Baptiste), mais ton eau, » l’auto-baptisé s’asperge d’eau du robinet, de la rivière ou de la mer, simple symbole, en formulant le voeu qu’en changeant sa vie par la pénitence (30/11) il contribuera aussi à changer le monde (28/7) en ramenant sur terre l’Eau de la Vie spirituelle (24/5), de la bonté et du bonheur universels.
Versets 7-8 de la veillée 20 dictés par Jésus sur le baptême
(… en cours de construction)